It's Always Sunny in Philadelphia
Philadelphia
Quatre amis immatures qui tiennent un pub irlandais à Philadelphie essaient de s'intégrer dans le monde adulte du travail et des relations sociales. Mais leurs biais et leurs préjugés leur font rencontrer de nombreux problèmes qui produisent tout autant de situations inconfortables.
En cours | Américaine, US | 22 minutes |
Comédie, Comedy | FX, Canal+, FXX | 2005 |
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1.05 - Épisode 5
Gun Fever
The guys buy a gun after the bar's safe is stolen.
Diffusion originale : 30 août 2005
Diffusion française :
30 août 2005
Réalisat.eur.rice.s :
Dan Attias
,
Daniel Attias
Scénariste.s :
Glenn Howerton
Guest.s :
Michael Rosenbaum
,
Shelly Desai
,
Robert Blanche
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 26 avril 2015 à 15:57 |
Encore un épisode où on devine le twist largement avant la fin. L'humour est toujours présent, heureusement. Il n'y a pas eu de mauvaise blague ou mauvaises scènes depuis le début. Par contre je me demande qui est le cinquième membre du cast que je vois sur toutes les affiches du show. On l'a déjà vu ou ce n'est qu'un futur régulier qui sera introduit plus tard ? |
Avis favorable | Déposé le 08 octobre 2014 à 02:43 |
Même si pour l'instant c'est le moins bon de la série, les personnages restent attachant et la lex luthor en guest star marche plutôt bien. |
Avis neutre | Déposé le 07 avril 2014 à 22:01 |
Mouais, un peu léger celui-là. Les américains sont obsédés par les armes à feu, c'est pas noiuveau mais l'épisode n'apporte pas grand chose de plus pour le coup. Reste que voir des tocards se prendre pour John Wayne est amusant. |
Avis favorable | Déposé le 26 septembre 2013 à 11:40 |
Épisode peur drôle et assez poussif qui a, au moins, le mérite d'aborder un sujet ultra sensible aux USA. |
Épisode bien sympa sur les armes à feu. L’intro est top comme toujours et le duo Mac et Dennis fonctionne bien. Je suis un peu déçu de Deandra qui est un personnage un peu trop sérieux. Du coup, je me dis que The Mick sera en fait le défouloir de l’actrice.
Puis Charlie est Charlie, à la fois utile car à la base des récits et méga énervant.